Le chien soumis de monsieur

Catégories : GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 5 ans

Ce soir j’ai rendez-vous chez lui. Sa femme l’a quitté depuis plusieurs mois déjà et, pour reprendre ses mots, il a « bien besoin de se vider les couilles ». C’est une des choses qu’il m’a avouées lors de nos conversations sur un site internet. Voici d’ailleurs de brefs extraits tirés de nos échanges, question de donner une idée des rapports virtuels que nous avons entretenus avant la rencontre de ce soir :

1ère discussion :

LUI : Alors, comme ça, tu cherches quelqu’un de directif et dominant ?

MOI : Oui et ce serait d’ailleurs ma première fois avec un homme. J’espère rencontrer un mâle viril qui saurait prendre les devants pour me soumettre à son plaisir.

LUI : Tu ne serais pas déçu avec moi, tu peux me croire. J’ai une belle bite qui cherche une bouche et un cul à défoncer toute la nuit.

MOI : Si ce n’est pas indiscret, elle ressemble à quoi ta belle bite ?

LUI : Un beau 9 pouces (23 cm), bien épaisse et bien dure.

Après plusieurs autres conversations sur le même ton, au cours desquelles j’ai notamment appris qu’il avait 45 ans (j’en ai 22), qu’il était récemment divorcé et sans e n f a n t , cinq jours ont passé sans que j’aie de nouvelles de lui ou de réponse à mes messages. Jusqu’à ce que :

MOI : Pourquoi est-ce que tu ne me réponds pas ? J’ai fait quelque chose de mal ? Je t’ai manqué de respect ? Si c’est le cas, je m’en excuse et ferai tout pour me faire pardonner ! Tout ce que je souhaite, c'est que tu me soumettes à ta grosse bite, que tu l’enfonces entre mes lèvres quand tu veux et comme tu veux, que tu défonces ma gueule ou mon cul quand ça te plaît. Quand je suis avec toi, je t'appartiens. En passant, au moment où je tape ces lignes, j'ai un plug dans le cul et en l’insérant, j'imaginais que c'était toi qui me l'enfonçais pour bien me préparer à ta queue.

LUI : Je vois que tu es prêt, p’tite pute, et que tu as compris ce que j attendais de toi. J’ai bien hâte de voir si tu seras à la hauteur avec ma queue dans ta bouche. Tu as besoin de tout avaler et ne t’inquiète pas, je vais m assurer de bien t’enfoncer ton plug pour que tu sois prêt a recevoir ma queue bien dure. Et si tu ne répond pas a mes exigences, je vais te traiter de tous les noms. Je te veux salope, soumise et p’tite pute. D’ailleurs, dorénavant, tu m’appelles « monsieur » et tu me vouvoies, c’est clair ? Je ne suis pas un de tes potes, je suis celui auquel tu dois obéir. Tu te présentes jeudi soir à ma porte avec ton plug dans le cul. À 20h. Et ne sois pas en retard sinon tu le regretteras.

MOI : Oui, monsieur, je ferai tout pour satisfaire. Merci, monsieur.

C’est ainsi que je me retrouve à appuyer sur le bouton de sonnette d’un bungalow de banlieue, avec un plug planté dans les fesses depuis près d’une heure, soit le temps qu’il m’a fallu pour arriver jusqu’ici en autobus. Je suis tellement fébrile que je peine à rester en place devant la porte en attendant que celle-ci s’ouvre. Et ce plug ne fait rien pour arranger les choses. Je le sens qui me chatouille à chacun de mes mouvements. Enfin, la porte s’ouvre et je le vois pour la première fois. Bel homme, d’apparence soignée malgré un début de barbe qui lui donne un air un peu bourru qui n’est pas pour me déplaire, environ ma taille (180 cm), mais plus large d’épaules, cheveux poivre et sel, il porte des pantalons noirs et une chemise à manches longues rouge vin, comme s’il revenait tout juste de son travail.

Sans un sourire, il dit : « C’est bien, tu es à l’heure ».

Je devine qu’il a préparé cette phrase et qu’il la retourne dans sa tête depuis quelques heures déjà. Il m’invite d’un geste à entrer à l’intérieur. Pendant que j’enlève mon manteau et mes souliers, nous n’échangeons aucun mot. Une gêne atroce me paralyse et ralentit considérablement mes mouvements. Les mots salaces que nous avons échangé me semblent appartenir à un autre univers et je me demande ce que je suis venu faire ici. Une folle envie de rebrousser chemin me saisit brusquement et je m’apprête à m’excuser lorsqu’il dit, d’une voix grave et calme qui ne souffrirait aucun refus : « Viens t’asseoir au salon ».

Comme un automate, je le suis à travers la cuisine jusqu’au salon où il m’invite à m’asseoir à sa gauche sur le divan. Il me tend un verre d’alcool fort. « Tiens, bois-ça ». Même si son ton est posé, je sais que je n’ai pas intérêt à discuter. Je prends le verre de sa grosse main et le porte doucement à mes lèvres. J’ignore de quel alcool il s’agit, mais la minuscule gorgée que j’avale me brûle la gorge. « Bois-le au complet. Ça te détendra. » Je me f o r c e alors à ingurgiter le contenu du verre et me met ensuite à tousser plusieurs fois. Lorsque je reprends mes esprits, je réalise qu’il a posé sa main sur ma cuisse et qu’il la caresse avec fermeté. Un peu comme on caresserait un chien. L’alcool commence rapidement à faire effet : une grande chaleur envahit mon corps, je me décrispe et profite de la caresse que je reçois. Sa main remonte près de mon entrejambe. Une partie de moi trouve que tout ça va trop vite alors qu’un autre tente de me persuader de profiter de l’occasion qui s’offre à moi de découvrir de nouvelles expériences. Et je dois l’admettre : j’ai envie d’écouter cette dernière partie de moi.

Il doit remarquer à mon attitude que je me relaxe, car il prend ma main et, sans dire quoi que ce soit, en fixant ses yeux bleus dans les miens, il la pose sur sa braguette. Contrairement à ce que son calme olympien suggérait, je sens une bosse de bon augure sous mes doigts, ce qui m’incite la tâter avec application. Après seulement quelques secondes, une barre distend son pantalon. Je suis fier de moi. Je l’excite.

Il prend alors mon menton de sa main et me tourne la tête vers lui. Au moment où j’entrouvre mes lèvres, m’attendant à un baiser, il enfonce deux de ses doigts dans ma bouche et les fait aller et venir doucement, presque langoureusement.

  • Oui, c’est ça, ma belle, me murmure-t-il. Suce-les et lèche-lès comme tu vas sucer et lécher ma bite très bientôt. »

Ses doigts se retrouvent rapidement recouverts de salive tandis que je m’eff o r c e de ne pas cesser de caresser sa queue à travers son pantalon. Ma soudaine féminisation me pousse à mettre davantage d’ardeur à double travail

  • Tu en veux un troisième ? me demande-t-il, sans doute satisfait de mon entrain. Sans attendre de réponse, il ajoute son annulaire à son majeur et son index et continue de me fouiller la bouche. Je vais bien te préparer la gueule, tu vas voir, ajoute-t-il en augmentant la cadence de ses mouvements. Un filet de bave s’étire maintenant de mes lèvres distendues à mon chandail, mais il ne ralentit pas pour autant.

Soudain, après avoir brièvement ajouté un quatrième doigt qui a de la difficulté à se frayer un chemin dans ma bouche, il retire sa main, verse à nouveau de l’alcool dans mon verre et me le tend. « Bois ». J’obéis et parviens à ne presque pas tousser, mais à peine ai-je terminé que je reçois une puissante gifle qui me fait pousser un cri de douleur et de surprise.

  • Lorsque je te fais un cadeau, tu me remercies, compris ? annonce-t-il d’une voix forte.

  • Excusez-moi. Merci beaucoup.

  • Merci qui, p’tite pute ?

  • Merci monsieur. Je ne vous décevrai plus, monsieur.

  • C’est mieux comme ça. Maintenant, tu te lèves, tu te déshabilles et tu te mets à quatre pattes devant moi, comme la chienne que tu es. Et vite !

Je m’empresse d’obéir, retirant mes chaussettes, mon chandail, mes pantalons et mes boxers, puis je positionne en chienne devant lui. J’aime la tournure que prennent les événements et j’ai particulièrement hâte sentir sa queue sur mes lèvres.

  • Ferme les yeux et ne les ouvre pas avant que je te l’aie ordonné. Colle les genoux et soulève ton cul. Cambre-toi.

Je l’entends se lever du divan et se mettre à tourner lentement autour de moi. Je me sens comme une esclave qui se ferait jauger par un riche Romain de l’Antiquité. Je suis offerte en pâture à sa lubricité.

  • Je vois que tu as fais ce que je t’avais demandé, dit-il en tapotant le plug enfoncé dans mon cul. Tu es une bonne chienne, n’est-ce pas ?

  • Oui, monsieur. Je ne demande qu’à vous satisfaire selon votre bon désir.

Sans crier gare, il retire d’un coup sec le plug de mon cul qui fait entendre un son plutôt gênant, puis crache dans mon conduit avant de replacer le plug d’un coup.

  • Déjà tout ouvert, ça promet pour plus tard. Tu te godes souvent, salope ?

  • Oui monsieur, quelques fois par semaine. Sinon je suis trop excitée et je ne me contiens plus.

  • Avec des objets ou des dildos ? N’ouvre pas tes yeux ! tonne-t-il en claquant mes fesses qui se mettent instantanément à brûler.

  • Pardons, monsieur. Au début, c’était un tube de bonbons, puis une vieille brosse à cheveux, puis le manche du débouche-toilette. Mais depuis que j’ai acheté des godes sur internet, je n’utilise que ça.

  • Ils sont comment, tes godes ?

  • L’un est assez petit. 15 cm par 3,5 et diamètre, je dirais, et l’autre est très gros : 25 cm par 6 cm de diamètre. Je n’ai jamais réussi à l’accueillir au complet.

  • La prochaine fois que tu viens me voir, tu les apportes. On verra si tu ne peux pas l’accueillir une fois que je t’aurai bien préparée.

  • Oui, monsieur. Avec plaisir, monsieur.

  • Maintenant, toujours en gardant les yeux fermés, tu va te mettre à genoux, ouvrir la bouche et sortir ta langue. Et mets tes mains dans ton dos.

Après quelques minutes où il continue sa lente ronde autour de moi agenouillée, je le sens s’arrêter devant moi. Avec une lenteur toute calculée pour m’exciter davantage, il ouvre la braguette de son pantalon.

  • N’ouvre surtout pas les yeux, p’tite pute, sinon tu peux dire adieu à ton cadeau. Et crois-moi, tu le regretterais.

Sentir sa queue chaude devant moi et ne pas pouvoir y toucher constitue un vrai supplice. Je dois me retenir de toutes mes f o r c e s pour ne pas tenter de la happer avec les lèvres. Je n’en reviens pas. Juste à m’imaginer agenouillée devant un homme qui tient sa queue tendue devant moi, je bande comme un fou.

Il appuie alors ses deux mains sur le dessus de ma tête et se met à me fouetter le visage avec sa bite. En riant, il fait claquer sa queue sur ma joue puis sur l’autre, la fait glisser sur ma peau, sur mes lèvres et ma langue, me donne de légères tapes sur les paupières avec son gland énorme. Oui, énorme ! Étourdi par les coups venant de toutes parts et à toute vitesse, je suis intérieurement ébahi par la masse qui me heurte. C’est long, chaud et dur, un peu comme une baguette de pain frais, mais en plus lourd ! Les coups qui pleuvent sur moi cessent enfin et je reçois un nouvel ordre : « Ouvre les yeux, maintenant ».

Une belle queue de plus de vingt centimètres jaillissait des pantalons noirs et se dressait fièrement devant moi. Son gland décalotté trônait sur le membre épais et veiné qui disparaissait dans une touffe de poils noirs. Cette queue est incroyablement belle et une telle impression de puissance émane d’elle que je réalise que le mâle à qui elle appartient pourrait faire de moi ce qu’il veut.

  • Je vois tes yeux de petite chienne qui brillent. Tu la trouves comment ma queue ?

  • Elle est magnifique, monsieur. Imposante et magnifique, monsieur.

  • Allez, sors ta langue pour me montrer que tu es contente. Oui, comme ça, c’est bien. Tu la veux, hein, ma bite ? Tu veux ton os ?

  • Oh oui, monsieur, j’adorerais.

  • C’est tout ? Je te croyais plus affamée…

  • S’il vous plaît, monsieur, je vous en supplie. Permettez-moi de lui toucher et de la cajoler, je vous en prie.

  • C’est bien, ma belle, tu es une bonne chienne, murmure-t-il affectueusement en croisant ses mains dans son dos. Viens goûter ta grosse sucette.

Sans attendre davantage, je m’empresse de lécher son gland doux et chaud, puis, après l’avoir bien caressé avec ma langue, je fais glisser son gland sur mes lèvres jusqu’à le gober. J’entends Monsieur qui soupire de plaisir pendant que je suçote son gland comme une friandise glacée tout en promenant ma langue sur toute sa surface. Concentrée dans ma besogne, je ne sens pas ses deux mains se placer de chaque côté de ma tête jusqu’à ce qu’il m’ordonne de lever les yeux vers lui, ce que je fais en lui lançant un regard mi-apeuré, mi-excité, tout en conservant sa bite dure comme de la pierre dans ma bouche. En appuyant sur mon crâne, il me f o r c e à entamer un mouvement de va-et-vient le long de sa grosse queue et, progressivement, j’arrive en avaler de plus en plus, mais elle est tellement large que je peine à dépasser la mi-longueur.

  • Oui, vas-y, salope, avale ma queue. Comme ça, c’est bien. Je vais te montrer comment une pute doit satisfaire son maître, tu vas voir, me dit-il en ressortant complètement sa queue luisante de ma bouche et en la balançant devant mon visage.

Aussitôt, comme par un réflexe de chienne prête à tout que j’étais devenue, j’essaie de happer sa grosse bite avec mes lèvres, ce qui vaut une gifle aussi brutale que puissante.

  • Pas de ça avec moi. Moi seul décide quand tu as droit à ma queue. Toi, tu gardes la bouche ouverte et tu attends aussi longtemps que je le souhaite que j’aie envie d’y entrer. Et garde tes mains dans ton dos ou je te les attache. Oui, comme ça. Une bonne chienne bien obéissante, prête à tout pour recevoir son os, voilà ce que tu seras quand j’en aurai fini avec toi.

Après m’avoir donné quelques coups sur le visage avec sa matraque pleine de ma bave, il me relève à nouveau le visage pour que je le regarde dans les yeux. Le contraste entre moi agenouillée sur le plancher, bouche ouverte, regard suppliant, nue à ses pieds, et lui encore habillé avec sa belle et grosse queue qui tressaute devant moi, est saisissant et merveilleusement excitant. Je me sens vraiment comme sa pute, comme un objet conçu uniquement pour son plaisir. S’il en allait maintenant, je crois que j’en pleurerais.

  • Quand je suis face à toi, je veux que tu me regardes, petite salope ! Je veux voir tes yeux de chienne en chaleur soumise pendant que je te défonce la gueule, me dit-il en arborant un sourire carnassier.

Aussitôt dit, aussitôt fait, il m’enfonce sa queue dans la bouche le plus loin possible et l’y laisse plusieurs secondes qui me paraissent une éternité. Je sens son gros gland se frayer un chemin dans ma gorge pendant que Monsieur oscille des hanches pour bien faire pénétrer son gourdin. Prise de haut-le-cœur, j’essaie de me libérer de cette intrusion, mais ses bras puissants me maintiennent la tête. Une bouffée de chaleur m’envahit jusqu’à ce que la bite noueuse se retire enfin d’un coup sec.

Pendant plusieurs minutes, en m’imposant un rythme irrégulier certainement destiné à prouver qu’il fait de moi ce que bon lui semble, Monsieur fait ainsi coulisser sa magnifique queue entre mes lèvres jusqu’à ce que je réussisse à retenir mes haut-le-cœur. Voyant que je m’améliore, il effectue des va-et-vient de plus en amples et de plus rapides, à tel point que des larmes coulent sur mes joues. À chacun de ses vigoureux coups de boutoir, son gland tout gonflé vient cogner mon palais et ma gorge, ce qui ne manquerait pas de me déstabiliser si Monsieur ne me tenait pas aussi fermement la tête. Un long filet de bave s’échappe de ma bouche distendue et coule sur le plancher où une flaque s’est formée. Une dernière fois, Monsieur m’enfonce sa bite et, pour marquer le coup, insiste pour me la faire avaler en entier, tant et si bien que, malgré mes haut-le-cœur en partie contenus, ses poils pubiens parviennent à chatouiller mon nez pendant quelques secondes avant que Monsieur ne retire lentement sa queue de ma bouche rendue pâteuse par ce travail de fouille en profondeur. J’aurais aimé qu’il déverse en moi son nectar, mais j’imagine que ça aurait été pour lui comme un aveu de faiblesse, comme une atteinte à sa supériorité sur moi, son jouet de plaisir.

  • Je dois avouer, me dit-il en branlant doucement son engin d’une main et en me caressant les cheveux de l’autre, que cette mise en bouche m’a pas mal excité. Tu es vraiment une chienne obéissante.

  • Merci monsieur.

  • Mais ce n’est pas terminé, ma belle, ajoute-t-il en enlevant sa chemise. Tu sais ce qui arrive aux petites chiennes comme toi une fois qu’elles ont bien excité leur mâle ? Tu le sais ?, me demande-t-il en allant s’asseoir dans le fauteuil à l’autre extrémité du salon.

  • Oui, monsieur. Enfin, je crois savoir, monsieur.

  • Alors viens me voir. Et n’oublie pas ta condition de chienne.

Je m’approche tant bien que mal, à quatre pattes, du fauteuil où est assis monsieur. J’avoue que j’ai un peu mal aux genoux, mais le plaisir que je ressens à obéir (comme en témoigne la queue bandée jusqu’à la douleur qui ballotte entre mes cuisses) surpasse cette souffrance superficielle.

  • Déshabille-moi, m’ordonne-t-il à mon arrivée devant lui, alors que j’approchais ma tête de sa queue toujours raide.

En regardant Monsieur dans les yeux, je lui enlève alors ses souliers et ses chaussettes, puis remonte vers sa taille pour défaire sa ceinture et baisser ses pantalons. J’en profite pour admirer son torse découpé recouvert de poils noirs tirant au gris. Malgré qu’il soit deux fois plus âgé que moi, il est clairement plus en forme et fort que moi qui suis plutôt mince. Quant à ses jambes, elles sont aussi musclées que celles d’un cycliste, et légèrement poilues. Heureusement, sa bite a ramolli quelque peu, ce qui me permet de retirer son caleçon sans trop de difficulté. Soudain, mes yeux ne peuvent s’empêcher d’être attirés par les deux belles grosses couilles qui pendent lourdement sous la queue de Monsieur, étendue sur le côté comme une sirène sur un rocher au bord de l’eau.

  • Viens jouer avec, p’tite pute. Je vois que tu en meures d’envie.

Nul besoin qu’il précise ce avec quoi je dois jouer. Ma langue et mes lèvres partent à la rencontre de ces couilles rasées pendant que d’une main, je branle doucement la bite qui les surmonte. Celle-ci retrouve d’ailleurs rapidement sa rigidité.

Après quelques secondes qui me permettent de gober tour à tour les deux belles noix à ma disposition, Monsieur se penche au-dessus de moi retire, avec une lenteur insupportable, le plug de mon cul. Il l’approche alors de ma bouche et me f o r c e à l’avaler pour bien le lubrifier, après quoi il s’en sert pour me défoncer lentement le cul.

  • Tu es toute propre à ce que je vois, c’est bien. Reprends ma queue, maintenant. Oui, lubrifie-la bien, tu ne le regretteras pas. Moi, je continue à t’ouvrir. Lèche mes doigts, un peu. Oui, reprends ma queue encore un peu, me dit-il en enfonçant sans trop de difficulté ses trois doigts recouverts de salive dans mon cul.

Après quelques minutes de préparation de mon cul et cette pipe plus douce que la précédente, la bite de Monsieur a retrouvé toute sa dureté. Soudain, sans prévenir, il se lève du fauteuil et passe derrière moi. Il rapproche alors mes genoux et penche mon corps vers l’avant en me poussant sur le dos, jusqu’à ce que ma tête donne contre le plancher et que mes fesses soient bien relevées dans les airs.

  • Quel cul tu as, sale chienne ! me félicite-t-il en me frappant sur les fesses avec sa lourde queue. Et juste pour moi, en plus !

Tandis que je demeure toujours le visage contre le plancher, je sens son gland énorme s’approcher de mon anus et s’y enfoncer doucement avant de ressortir complètement. Monsieur répète la manœuvre à quelques reprises jusqu’à ce que je lâche un faible :

  • Allez, s’il vous plaît !

  • Qu’est-ce que tu viens de me dire, espèce de chienne ? Tu me donnes des ordres, maintenant, c’est ça ? Tu crois que j’en ai quelque chose à foutre de toi ?

  • Non, monsieur. Pardon, monsieur. Je n’ai pas fait exprès, monsieur…

  • Qu’est-ce que tu es, dis-moi ? Hein ? Qu’est-ce que tu es pour moi ?

  • Je suis votre petite salope personnelle, monsieur. Je suis votre chienne, votre pute, votre…

  • Alors voilà ce qu’on fait aux salopes dans ton genre, me dit-il en enfonçant brutalement son énorme gourdin au fond de mon cul et en l’y conservant immobile. Tu le sens bien, maintenant, que tu es une salope ? Hein, tu le sens bien ?

  • Aaarrghh ! Oui, monsieur, merci, monsieur.

La douleur fulgurante du début se mélange bientôt avec la satisfaction de sentir ses couilles appuyer contre mon périnée. Sa queue me semble encore plus grosse que lorsqu’elle me défonçait la gorge et je peine à respirer. Enfin, Monsieur saisit mes hanches et entame un mouvement de va-et-vient qui va en s’accélérant. Bien vite, je sens toute la longueur de sa queue qui coulisse en moi à toute vitesse pendant que ses couilles tapent contre mon cul en produisant un son de castagnettes. Parfois, sa queue ressort complètement et Monsieur en profite pour cracher dans mon anus sans doute ouvert et me planter à nouveau son gourdin au plus profond de moi, ce qui ne manque pas de me faire gémir comme une femme.

  • Tu la sens bien, ma grosse queue, salope ?

  • Oh oui, monsieur. Merci, monsieur !

Après plusieurs minutes de ramonage intense, Monsieur s’extirpe de mon cul, se relève et me jette un regard satisfait.

  • Au pied, chienne. On va dans ma chambre.

Arrivés devant son grand lit, moi toujours à quatre pattes et Monsieur debout, il me soulève et me jette à plat ventre sur les draps. Sans que j’aie le temps de réagir, il glisse un coussin sous mes fesses et m’enfonce à nouveau sa bite dans le cul. À chacun de ses puissants coups de boutoirs, je sens tout le corps en sueur de Monsieur qui s’abat sur moi et me cloue au lit. Il me possède ainsi pendant plusieurs minutes en me traitant de tous les noms obscènes qui lui viennent à l’esprit et je finis par jouir sans même me toucher, ce qui est une première pour moi. Tout s’embrouille autour de moi tandis que je jouis comme une femelle en train de se faire saillir. La contraction de mon cul, à cet instant, finit par avoir raison des résistances de Monsieur qui, en grognant, se plaque contre moi et déverse un flot de sperme dans mon cul. J’ai l’impression que le déluge ne s’arrêtera jamais, que sa semence me sortira bientôt par la bouche si ça continue. Je me sens véritablement inondée et Monsieur, après avoir brièvement repris son souffle, me retourne sur le dos et approche sa bite poisseuse de mes lèvres.

  • Nettoie-la bien, salope. J’aime dormir avec la bite propre.

Je glisse alors ma langue dans les moindres replis de sa queue encore ramollie et m’eff o r c e de ne rien laisser derrière, pour que Monsieur soit fier de moi. Elle est aussi belle au repos qu’en érection et, une fois le nettoyage terminé, je passe quelques secondes à caresser les couilles de Monsieur tout en suçotant son gland. Je dois ressembler à une païenne qui adore fiévreusement son idole.

  • C’est bien, ma belle, dit-il en me flattant affectueusement la tête, tu es une bonne bête obéissante. Va prendre une douche, c’est la première porte à gauche en sortant. Reviens me rejoindre après.

Pendant que je me savonne, j’expulse la semence que mon mâle viril a déposée en moi et tâte mon cul pour évaluer les dommages qu’il a subis. À ma grande surprise, il est encore tout ouvert, mais pas douloureux. Les quelques attouchements que j’effectue me font à nouveau bander et une dizaine de va-et-vient sur ma queue suffisent étrangement à me faire jouir.

Je ressors ensuite de la salle de bain et me dirige vers le lit. Monsieur ronfle déjà, ce qui me fait penser qu’il ne disait pas tout à fait la vérité en disant qu’il me défoncerait toute la nuit. Peu importe, je me blottis contre son corps chaud et puissant. Presque sans le vouloir, ma main descend lentement vers son entrejambe et je fais rouler doucement ses couilles entre mes doigts.

QCBOY89

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